I drink a little to much
yeah, again.

Un verre, deux verres, une bouteille, deux bouteilles, une caisse, peut-être deux, je n'ai aucune idée. J'ai passé la soirée chez moi, à boire et à fumer. Je n'ai jamais su arrêter de fumer, donc je coris que j'ai passé la soirée à le faire, à boire comme un tarré. Je lève la chaine de stéréo, le volume et laisse cette musique déprimante s'emparrer de moi. et je reste confortablement assis sur mon divan à fixer le plafond et m'enfiler soit une cigarette, soit un verre, sois une bière. Je ferme les yeux un moment et je pense à Cat. Je me redresse prend la bouteille de rhum et en boit trois à quatre gorgées en une avant de la reposer sur la table. Je n'ai pas dormit depuis quoi trois jours, du moins pas plus de deux heures d'affiler. À chaque fois que je fermais les yeux, c'Est elle que je voyais au sol, par ma faute. Je dois avoir dormit toute la nuit puisque je n'ai aucun souvenir depuis quatorze heure la veille. Si j'ai dormit toute la journée et toute la nuit, ça expliquerait cet énorme mal de crâne. Je me réveille enfin et je me relève sur mes pieds. J'ai la tête qui tourne et la lumière est beaucoup trop forte. On frappe à la porte, j'ai l'impression qu'on me frappe avec une poêle en fonte. Je me prend la tête et me laisse tomber au sol ne le supportant pas. Je serre les dents et je m'épuise avec ce mal de crâne et je m'effondre au sol en fixant le plafond. On frappe à nouveau et je grogne, j'avais envie qu'on me laisse tranquille. Je n'avais envie de voir personne. Il n'y avait qu'une personne qui pouvait rentré chez moi, simplement parce qu'il m'avait arracher la clef des mains avant de partir. Je reste au sol et me passe la main sur le front et ferme les yeux.

make me someone new, tell me what to do, to rewrite this story. how long can I stay lost without a way to rewrite, I wish I could rewrite this story.
© SEBASTIANDAILY ; UNKNOW

C'est avec un certain découragement que Bash décide de rentre une visite surprise à son ami. Et quoi de mieux pour échapper à sa situation actuelle! Il tourne en rond dans sa maison, cherchant ces clés. Et dieu sait qu'il n'a pas envie de réveiller ou déranger Faith pour ça. Pour retrouver ces putains de clés. Il ferme les yeux un moment, visualise et se rappelle les avoir mises sur le comptoir, il les prends et quitte la maison en fermant la porte. Aussitôt sur le perron, il roule les yeux et revient à l'intérieur, exaspéré. « Je vais voir un copain, je reviens plus tard. J'ai mon portable. » Il remercia le ciel de lui avoir donné une femme aussi indépendante et féministe qu'elle. Il n'avait pas à se plaindre du choix que ces parents avaient fait. Enfin, c'était un mariage de circonstance. Ces parents en avaient marre de lui - surtout sa mère - et de son côté, elle n'avait aucune stabilité. Les voilà quelques mois plus tard, à ravir leurs parents avec un mariage stable, une maison grande pour quatre et un enfant qui allait arrivé. Au premier abord, Bash avait rit à la gueule de Faith. Lui, devenir père? La blague du siècle. Il avait peine à s'occuper de lui-même. Il en avait déjà plein le cul de Maat, pitié, pas un bébé. Même un poisson semblait être trop d'entretien pour lui. Imaginez un bébé. Bash dans sa voiture, se stationne enfin devant l'immeuble d'appartement style loft de Maat. Il espère qu'il n'est pas complètement bourré d'alcool ou en mauvais état. Mais soyons réaliste, le contraire l'étonnerait grandement. Il ne verrait pas de Maat souriant et enthousiaste avant un moment. Un long moment même. Il cogne à la porte une fois. Pas de réponse. Allez Maat, la sieste est terminé. Une seconde fois. Toujours rien. Parfait. Bash sort la clé du loft et ouvre la porte. Dieu combien il s'aime d'avoir pensé lui arraché un double! Il entre et voit son ami par terre, effondré, comme vous voudrez. Bash, un sourire sur son visage par son exploit soupire en refermant la porte. « T'es un véritable mess Aindreis. » Automatiquement, il fait quelques pas dans la cuisine, prend le flacon de médoc et verse un verre d'eau. Il s'approche de son ami et lui tend les médocs et le verre d'eau. « Tiens, et boit au complet. On ne voudrait pas que tu t'intoxiques. » Il l'aide à prendre position assise, le laisse cependant au sol pour ne pas qu'il tombe plus bas. Ce serait imbécile. « Tu vas comment, à part la gueule de bois évidente, Maat ? » Il s'assoit prend son aise. Il sera là pendant un moment.

I drink a little to much
yeah, again.

Qui osait venir cogner à ma porte et à cet heure! Hum, quel heure était-il au juste. Je lève mon bras regarde ma montre. Je vois flou, je ne vois pas très bien. Je secoue la tête, passe mon autre main sur mes yeux et réussi à entre voir l'heure. Oula, j'avais manqué un bon vingt heures de ma vie! Et puis, je m'en fichais. Il était dix heures du matin, congé forcé pour insubordination, j'allais passer la journée coucher sur le sol. Je laisse mes bras tomber et je ferme les yeux. J'étais seul, comme toujours et je n'avais pas envie de voir qui que ce soit. Des bruits de sérrure, non, merde, je suis plus seul. Mais quand Est-ce qu'il est arrivé lui. AH ouais, ça doit être lui qui frappe à ma porte depuis tout à l'heure. Je pousse un soupire l'entendant arrivé. Moi qui voulait avoir de la compagnie, il fallait que ce soit Bash. Bon, d'accord c'est le seul qui a la clef, le double. Avant c'était Cat qui passait quand elle voulait, mais vu son état, je l'avais reprit à contre coeur. Bash s'était arrangé pour l'avoir et je dois le dire, ça ne m'enchantait pas qu'il aie cette clef. Je voulais qu'on me laisse tranquille, comme me laisse mourir seul à petit feu. « T'as pas besoin de me le dire Bash, je suis capable de m'en rende compte seul. » Je savais très bien que j'étais à moi seul un foutu bordel et je ne faisais rien pour que ça change. Il était le seul à savoir ce que j'étais en train de vivre. Les collègues au bureau ne s'en était pas rendu compte. Tout ce qu'ils pensaient c'était que je travaillais trop dure pour trouver le responsable de l'état de Cat, ou des disparitions d'enfant. Peu importe, oui, c'est ce que je fais, mais il n'y a pas que ça et il jouent les aveugle. La seule personne qui a sut s'en rendre compte, c'est Bash et je dois dire que je lui devrai une fière chandelle lorsque tout ira mieux. Si jamais ça arrive. Il me temps des médocs et un verre d'eau. « Chouette... C'est l'heure des médocs... Merci doc. » Tous mes mots était remplit de sarcasme et il le savait, je parlais comme ça depuis un moment et j'en avais pour encore un moment. Je l'écoute, pour une fois. Je prend les medocs, les fou dans ma bouche et gobe le verre d'eau comme mon premier verre de whisky de la veille. Les bouteilles traîne encore sur la table du salon. Je réussis à m'asseoir avec son aide et appuie mes bras contre mes genoux pour me garder en équillibre, sinon je retombais vers l'arrière. « Ça va... » Je ne le regardais même pas. J'avais en quelque sorte honte de moi. Je me souviens encore la première fois je l'ai trouvé chez moi.