NOM COMPLET Maat, Yoan Aindreis. ≈ DATE DE NAISSANCE ET ÂGE 12 Janvier, agé de 34 ≈ ORIGINES ET NATIONALITÉ Américain de souche. ≈ MÉTIER/ÉTUDES détective ⊹ PAYS DE NAISSANCE États-≈ ÉTAT CIVIL célibataire. ≈ STATUT MONÉTAIRE moyen. ≈ TRAITS PHYSIQUE PARTICULIER répondre ici (si aucun, écrire 'aucun') ≈ TRAITS DE CARACTÈRE protecteur, éffronté, attentionné, arrogant, passionné, ironique et jaloux ≈

Depuis ce qui est arrivé à sa coéquipière, Cat Castaing, il s'est partit en solo, il n'a jamais voulu reprendre une ou un partenaire, il préfèrent travailler en solo. Il est partit sur un dossier vieux de plusieurs années, pas encore résolut, des enlèvements de gamines entre six et douze ans. ▷ Il était amoureux de sa coéquipière et ce depuis longtemps, mais il ne se l'est jamais avoué. Il ne se l'est seulement avoué que lorsque leur dernier dossier ensemble a mal tourné. Il lui a dit, mais elle n'était pas réveillé et à son réveil, elle ne se souvenait même plus de lui. Ça l'a détruit, il est tombé dans l'alcool depuis et ça lui arrive de perdre le contrôle.  ▷ Son père était était militaire, unnn grand militaire, il a beau avour manqué le début de sa vie, mais Maat l'avait toujours admiré. Il y a une partie de sa vie qu'il ne pardonnera jamais à son père, ce moment ou il a perdu le contrôle et le battait régulièrement. Son père était alcoolique, il ne se souvenait jamais des coups qu'ils avaient donné. Il s'en était toujours voulu d'avoir battut son fils, même en prison. ▷

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▷ Oh Father, Father leave me alone
À l'époque j'étais un grand bagarreur, pourquoi ? Simplement parce que je voulais me préparer au jour ou je riposterais envers mon paternel.Ça devait faire trois ans qu'il me battait lorsqu'il rentrait de je ne sais jamais ou. Ma mère était morte trois ans plus tôt, donc on voit la raison de ce changement soudain chez mon père. Au moins c'était moi qui mangeait les coups et non pas mes soeur Lyna et Crisana. Je prennais les coups pour elles, mais honnêtement, il n'allait jamais vers elle, c'était toujours vers moi qu'il allait. Je prenais soin de mes soeurs, comme toujours et après les avoir bordé, oui, même ma jumelle, je m'installais au salon attendant mon père, mais je m'endormais comme à chaque fois. Il arrivait sans faire attention et renversa la table à café au salon et jura haut et fort et titubant jusqu'à la cuisine, qu'est-ce qu'il allait faire ? Il allait s'ouvrir une bière. Je me réveille en sursaut et le regarde passer. Je ne vois que son ombre, il n'a pas l'air de bonne humeur, ses gestes son agressif, sec et incontrôlé. J'avale ma salive, me lève et je m 'approche de lui. « Papa... Est-ce que ça va? » Il se retourne sec et me regard droit dans les yeux, son regard me glaça le sang, assez pour que je fige. Je n'arrivais plus à bouger, c'était la première fois que je voyais autant de colère chez mon père, je ne l'avais jamais vu dans cet état et ça m'effrayait. Je réussis à faire un pas vers l'arrière lorsqu'il s'avance vers moi. C'est à ce moment là qu'il lève le poing et me le balance en pleine figure. Naturellement je reste debout et j'en caisse, mais cette fois, c'était tellement fort que je me retrouvai au sol, le nez enn sang. Je le pris entre mes mains poussant en cri de douleur. Je tente de m'éloigner et me redresser, mais il m'agrippe par le collet et me pousse contre le mur. Je le frappe en plein torse qu'il me lâhc, mon entrainement ne m'avait pas montrer à garder mon sang froid, je paniquais. Je me débat du mieux que je peux, mais il me tient bien solidement par la gorge, il me souleva du sol et je m'accroche à ses poignets. C'est à ce moment que Lyna dévale les escaliers et se met à hurler voyant la scène. Il me lâche, me laissant tomber au sol. Il s'avance vers Lyna, tétanniser, les bras le long du corps. « Lyna! Vas-t'en! » Elle ne bouge pas. Difficilement je me lève et titube jusqu'à mon père et l'agrippe par la taille pour le faire tomber. Je pousse Lyna pour qu'elle remonte en haut, mais elle ne fait que tomber sur les escaliers, ce qui alerte Crisana - qui à l'époque m'aimait encoire- et qui dévale les escaliers à toute vitesse. Elle se jette sur le téléphone pour appeler la police, cette fois, elle n'en pouvait tout simplement plus. J'étais sur mon père, j'essayais de l'immobiliser, mais il était plus grand, plus fort que moi, donc l'innévitable arriva, il me renversa et me frappa de nouveau au visage. Cris s'en mêla et se jeta sur son dos. Il s'agita, frappa dans le vide et il atteint Lyna au passage, ce qui me mit en colère. Cris tomba au sol, j'en profitai, levai la statut juste à côté de moi et frappai mon père à la tête. Il tomba inconscient et ce fut à ce moment là que tout fut terminé, la police qui débarque pour l'emporter, les service sociaux pour nous, je me suis bâtut pout que l'on reste ensemble tous les trois et j'avais réussi.

▷ You supposed to be my twin, but you hate me
« C'est quoi ton problème Crisana! Tu me déteste, d'accord, mais te venge pas sur Lyna, t'a que sur moi que tu peux te venger. C'est à moi que t'en veux et pas à la terre entière, alors arrête de faire ta gamine Crisana! » Ma jumelle était en crise, elle avait hurlé sur Lyna et l'avait poussé, elle était en colère et pourquoi? Je ne m'en souviens même plus, ce qui est faux, je me souviens très bien de ce qui c'est passé et tout était de ma faute, c'est vrai, il est mort par ma faute, non plus clairement je l'ai tué oui. Vous avez bien compris j'ai bel et bien tuer un mec. Et je ne suis pas fier de cette histoire, donc je l'ignore. Je l'ai tué de sang froid et ma soeur m'en veux à mort, elle aurait préféré que ce soit l'inverse et je le sais très bien. On est pas jumeaux pour rien, elle sait très bien pourquoi je l'ai fais et je sais très bien pourquoi elle me déteste. Elle aimait se type, ils allaient se marier, elle avait la bague au doigt, mais il était rechercher par nos services, elle n'a jamais voulu me croire, j'ai fais mon boulot, le boulot d'officier. C'est un peu grâce à ça que j'ai gradé. « T'as perdue la tête Crisana, j'ai pris le contrôle de ma vie, j'ai pas perdue la tête, je l'ai, bien droite sur les épaules, j'ai laissé derrière moi le passé qu'on avait tous les deux, je veux recommencer à zero, mais jamais tu ne voudras, alors si tu veux t'en prendre à quelqu'un c'est à moi, laisse-la en dehors de tout ça. » Elle me regarde dangereusement de haut je n'aime pas ça. Je la laisse faire malgré tout parce qu'elle a ses raisons. Elle me tourne le dos et s'Enfonce dans son bureau, ça me met en colère et je la suis. je frappe sur son bureau pour qu'elle se retourne, elle me regarde appeuré, la première fois que j'osais faire quelque chose de physique et elle avait raison d'avoir peur. « TU VAS FINIR PAR ME PARLER CRIS! » Elle se plaque au mur, mon ton était trop cruel pour qu'elle ne perde pas son sang froid. Elle se redresse difficilement et s'approche de moi pour me regardai droit dans les yeux. « Je ne veux plus te voir. » Je me mis à rire et me redresse pour la confronter du regard. « Ça tu me l'as déjà dis Aindreis, trouve quelque chose de mieux si tu veux me voir partir. » Elle me repousse et me confronte réellement depuis la mort justifié de son fiancé et c'est partie! « Pourquoi tu l'as descendu! TU le savais que je l'aimais plus que tout! Plus que moi! Tu l'as tuer pour me faire du mal! C'Est tout ce que tu veux depuis le jour de notre naissance! Tu vas arrêter de me faire souffrir Maat! J'en peux plus! Tu l'as tué, t'as fait exprès! Tu n'attendais que ça! » Je fais un pas vers l'arrière et lève les bras. « Alors c'est ça! C'est ce que tu crois! Que j'ai fais exprès de le tuer! Que c'est ce que je voulais! C'était lui ou moi! J'ai sauvé ma peau! » Elle me giffle en plein visage, la frappe fut tellement forte que je me retrouve avec une plaie sur la joue. « J'aurais préféré que ce soit toi qui meurt, pas lui! » Je me recule, frappe dans le mur, elle sursaute et je quitte le poste en colère.

▷ my little sister, the last one, the one that could be my daughter.
« Non, je veux pas! Lâchez-moi! Je vous déteste! Lâchez-moi!!! MAAT!!! MAAT!!! » Je me retourne et sort de ma voiture, arme à la main. Tout ce que je vois, c'est ma Talia, ma princesse, mon âme, ma petite soeur, celle que personne n'a jamais eut le droit de toucher, la plus jeune, ma protégée, celle que j'ai pris sous ma charge, celle que j'ai arraché à Cris, celle pour laquelle je me suis battut pendant des mois et que j'ai vécu. Deux hommes l'avait dans leur bras, mais pourquoi et qui l'avait. Qui voulait d'elle, je n'étais sur aucun cas, aucun dossier, je n'aurais jamais prévu ça. « TALIA! » je cours vers eux, mais une voiture s'arrête entre elle et moi et une fois repartie, je ne la vois plus. Mon coeur s'emballe je tourne sur moi-même. Je n'ai pas su voir dans quel direction ils étaient partit. Je panique comme au jour ou Lyna se fit prendre par ce mécanisme de main un soir d'halloween. Bon, ce n'est pas la même chose, mais bon, j'avais les mêmes sensations, je n'avais pas le même âge qu'à l'époque. Je regarde au sol et je remarque des trainées. Je monte rapidement dans ma voiture et je me mets à roulé, nerveux, trop nerveux à la recherche de traces qui me mènnerait à eux, à ceux qui m'ont prit ma Talia. J'étais effrayé, trop effrayé. Je prend mon portable, la seule personne qui arriverait à me calmer maintenant, à voir plus claire, c'est Cat, c'est la seule qui peut me rassurer. Je l'appelle sur le champs, elle déccroche. « Cat! Cat S'il te plait fait quelque chose, je sais plus quoi faire, j'ai perdu sa trace! On m'a enlevé Talia, on l'a enlevé, je ... d'accord... chez moi... » Je n'avais pas retrouvé la piste, en réalité, on ne l'a jamais retrouvé. Ma soeur me manque, mais je ne savais plus ou chercher et nnnous avons perdu toute traces. Elle est surement morte maintenant..

▷ trust, serious trust can't destroy people's life
« Aindreis, Castaing, vous avez le dossier AR-447. » Je me lève d'un trait, ce dossier était l'un des plus important du poste. Je me tourne vers Car avec le sourire fendu jusqu'au oreille. Elle n'était pas certaine de le prendre. Je dois le dire, je la suppliais pratiquement du regard. Dans un soupire elle m'avait rendu mon sourire et avait approuvé d'un mouvement de tête. Je levai la main et elle la frappa de la sienne. On allait assurer, comme toujours, je n'en attendais pas moins de nous. Nous nous en sortions avec tous les dossiers qui nous était transmit. Ils étaiennt toujours fermé t assez rapidement. Cat et moi étions très proche et ne nous cachions rien. On aurait dit que nous étions sur la même longueur d'onde, nous pensions souvent de même lors d'un dossier, mais cette fois, elle avait quelques rétissance à faire celui-là et je n'avais aucune idée pourquoi. J'avais toujours ce moyen de la rassuré, qui la rassurait toujours. « Je suis là, tout va bien se passer. Dis-moi quand j'ai eut tord? » Et elle se mettait à rire. Il ne lui était jamais rien arrivé depuis qu'elle était avec moi, depuis que nous étions coéquipier, je gardais constament un oeil sur elle. Je m'étais attaché, s'il lui arrivait quelque chose je m'en voudrais à mort et surtout, je ne travaillerais avec personne d'autre. Elle était parfaite et compatible sur tous les plans avec ce boulot et moi. Je m'assois à nouveau sur mon bureau et laisse ma coéquipière aller chercher le dossier et une fois qu'elle revint vers moi, je me levai et quittai la pièce avec elle, c'était partit pour la voiture. Comme toujours c'était moi derrière le volant et elle qui lisait le dossier. « Bon, il se nomme Carlos Mendez, c'est un caïd ce mec! Sérieux Maat, je le sens pas ce dossier. » Je souris et la regarde du coin de l'oeil et remet les yeux sur la route.


▷ She trusted me and all I can do is put her in danger.
« Sérieux, c'est long! » Ma patience était courte, jour après jour, elle était plus courte. Cela devait faire quoi, cinq mois que nous étions sur ce dossier et on ne l'avait pas encore choppé, j'en avais marre! Cat toujours assise à côté de moi dans la voiture posa sa main sur ma cuisse, histoire de me calmer un peu. « Relaxe, je suis sur qu'on va l'atrapper bientôt. Il va faire une erreur et on va l'atrapper. » Sa confiance me calmait toujours un peu plus. Non, ce n'était pas les mots qu'elle utilisait, c'était plutôt le ton qu'elle utilisait. Elle arrivait toujours à me calmer. J'avais toujours les deux mains sur le volant, bien serré, prêt à partir. J'avais les yeux sur ce hangar depuis des jours, je laissais Cat rentrer chez elle, moi je restais là, elle ne le savait pas, mais moi je le faisais, je tenais trop à ce que tout se passe bien, qu'il arrive rien à personne que j'attendais le bon moment pour qu'il n'arrive rien. Le silence était retomber et ma jambe s'agita d'impatience au lieu de ma bouche, qui elle faisait en sorte que mes dents se serrent de plus en plus. J'allais avoir un de ses mal de dents ce soir je le sentais déjà remonter jusqu'au devant de mon crâne. Un détail attira mon attention, une lueur à l'intérieur, il devait être vingt-deux heures trente quand j'ai regardai ma montre. Je m'étire vers l'arrière et agrippe les jumelles et m'attardai d'avantage sur le hangar et j'eus un sourire. « Castaing, c'est notre gars! » Je sors sans réfléchir de la voiture. « Aindreis! Attend! » Trop tard j'étais déjà arme en mains direction l'établissement. Elle me rejoint, elle aussi armé et me regarda d'un regard de repproche. Je lui fis un clin d'oeil et en silence nous approchion de la porte. Je lui fis signe, trois, deux, un et j'entre le premier. Je regarde à gauche, puis à droite et lui fit signe d'entrer et elle passe devant. Nous avions circulé quelques mêtres dans les boîtes avant d'entendre des voix. C'était lui. Je sentais mes poils s'érrisser sur mes bras et frission me parcourir la colonne. Je lui fis signe que je prenais les devant. Si j'avais merdé, je préférais que ce soit moi qui en mange un bon coup au lieu d'elle. « POLICE! » Les coups de feu retentirent, woh, il n'était pas seul. D'un réflexe j'abbatu les deux hommes qui l'accomagnait, mais j'eus une douleur à la poitrine et me retrouvai plaquai contre les cartons grognement. Je laissai tomber mon arme le regardant partir, la main sur ma poitrine. Manqué, je n'étais pas gravement toucher, une chance. Cat se rue sur moi. « Aindreis! Tu vas bien? » Je lui fis un sourire bougeant légèrement mon épaule en soupirant. « Ça va, vas-y avant qu'il ne s'échappe! »  Je la vis partir devant et me remit à grimmacer,, la douleur était énorme. Je pris de grande respiration, le coup avait été tiré juste sous ma clavicule. Difficilement, je finis par me redresser et agripper mon arme, mon bras contre mon torse. Je marchai d'un pas rapide pour aller la rejoindre. Je me retrouvai à l'extrémité du hangar et la vision d'horreur me rendit fou. « CAT!! »  Mon coeur s'emballe, je ballaye la pièce de mon arme, personne. Je cours vers elle en me jetant au sol. Je dépose mon arme et l'Examine d'une main, aucun coup de feu n'avait été tiré, mais on ne sait jamais. Elle n'allait pas bien, des contusions sur tout le corps, c'était de ma faute. Je me pense au dessus d'elle. Je prenais la peine de ne jamais l'appeler par son prénom pour me protéger de cette attachement envers elle, mais cette fois, je n'ai pas su me retenir. N'ayant aucune réponse de sa part je la prend contre moi et regarde au loin, je ne voyais pas la voiture et hors de question que je la laisse seule. Je ne peux pas la porter. Je n'ai pas mon portable. Je fouille ses poches et trouve le sien. J'appelle la centrale. « Ici Aindreis, j'ai besoin d'une ambulance et vite! Merde dépêchez-vous Castaing est touché! Grouillez-vous! » je raccroche et m'attarde à ma coéquière. Les larmes montent, je n'ai aucun contrôle sur elles, elles me brûlent les joues. Je ne sens plus ma blessure, je ne vois qu'elle, inconsciente dans mes bras. « Cat, je suis désolé, tout est de ma faute, j'aurais du t'écouter, merde, merde, je t'en pris Cat, t'as pas le droit de mourir, t'as pas le droit de me laisser... Merde... Tout ça est de ma faute. MERDE, MAIS GROUILLEZ-VOUS!! » Finalement, j'entend les sireines au loin et je souffle un peu, mais pas tant qu'on me dira qu'elle est tiré d'affaire. Au loin je vois de façon embrouillé les ambulanciers arrivé accompagné de d'autre collègue qui m'aide à me relever, mais je me débat, je ne veux pas la laisser seule. « CAT! CAT! JE SUIS DÉSOLÉ! CAAAT!! » Mon collègue me traine de force jusqu'à sa voiture.


▷ serious trust just destroyed two people's life, hers and mine.
« Détective Andreis ? Maat? » Je me réveille en sursaut une main sur mon épaule. Je lève la tête et croise le regard de Suito, il me sourit difficilement, je n'aime pas cette fassade qu'il me met au visage. Je me redresse en me tenant le bras. Je grimace en un peu. Il met sa main sur mon épaule en bonne était et me demande de rester assit et je me sens mal et pas qu'un peu. J'ai peur qu'il m'annonce qu'elle est morte. C'est pas possible, elle était en mauvaise état, mais elle ne peut pas mourir. La seule raison valable de sa mort, ce serait mon karma qui aurait choisit de me faire souffrir encore plus. Il s'assoit à mes côtés et sourit réellement. Mon coeur s'emballe, est-ce qu'il va choisir sa foutu gueule et me dire ce qu'il a à me dire. « T'as finis de joué à la marionette, tu peux me dire ce qu'il y a avant que je m'énerve. » Il se redressa un peu, c'était la première fois que j'étais aussi agressif avec lui, agressif tout simplement. Je ne l'ai jamais été, du moins depuis que je travaillle avec Cat Castaing. Elle avait trouvé mon juste milieu. Je savais contenir ma rage et la relâcher quand j'en avais vraiment besoin, mais là, elle n'était pas là et j'en avais assez d'attendre qu'on vienne me parler sur son état. Lorsque je lève les yeux plus haut, je vois sa soeur, Malia arriver aux pas de course, ma gorge se sert et je baisse la tête. Je crains le pire encore, jusqu'à ce que le silence se brise et que Suito prenne la parole à nouveau. « Elle va s'en sortir Aindreis. » Je me calle dans ma chaise, mes muscles se relâchent et je soupire de soulagement. J'eus un léger sourire et Suito fit de même. La meilleure nouvelle de ces derniers mois. Je ferme les yeux et bascule la tête vers l'arrière. J'ai vraiment l'impression depuis mon entré dans cet hôpital que les choses peuvent s'arranger. Je n'avais aucune idée de quand elle allait se réveiller, mais je voulais y être. Je me lève donc de ma chaise et me rend à sa chambre voiyant Malia pleurer. Je m'approche d'elle et pose ma main sur son épaule. Elle avait l'air hésitante entre me giffler ou me prendre dans ses bras et elle opta pour la seconde option. Je la pris doucement contre moi en soupirant. Je tourne la tête vers la brunette sur le lit et soupire. « Malia, tu pourrais aller chercher du café, j'ai l'impression qu'on va rester là un bon moment. » Je la regardai partir avant de m'asseoir sur la chaise. Je passai une main sur mon visage en levant les yeux vers elle. « Tu m'as foutu la trouille Cat, je croyais que la vie me le ferait payer, mais t'es forte, tu te sors de toute sorte de situation... » Je regarde vers la porte un moment. « C'est pas pour rien que je t'aime. » Je soupire et je me lève. J'embrasse son front et je me lève pour croisé l'autre brunette dans le couloir. Elle me tend un café, je la remerci et le prend. « Va la rejoindre. » Elle entra dans la chambre et je restai là, appuyai contre le cadre de porte attendant, heure après heure qu'elle se réveille. Et puis... « Maat! » Je me précipite dans la chambre et croise le regard éveillé de Cat. J'eus un sourire et je m'approche. Elle me fixe les sourcils froncés. « Vous êtes qui? » Pire qu'une flêche en plein coeur. La vie me l'a bel et bien fait payé, par pire que sa mort. Je baisse la tête et me recule et tourne les talons. Le regard vide, fixai au loin, je longe le couloir jusqu'à la sortie et une fois dehors, les larmes s'allongent sur mes joues. Je n'avais aucune idée comment j'allais bien pouvoir affronter cette situation.

▷ I broke that trust and broke my own heart
« Un verre, double, sans glace. » Je ne regarde même pas le serveur, je suis asasis sur le banc et je fixe le comptoir, j'attend mon verre. Il est là devant moi, je le sais. Il joue avec ses mains, il est mal à l'aise, il me connait. Impatient je lève les yeux vers lui et ensuite la tête. Il n'ose pas parler, je le sais bien. « Quoi ? Un problème. » Il fuit mon regard, il regarde ailleurs, je sais ce qu'il pense, il n'a pas besoin de le dire, mais bon, c'est mon droit de boire ce que je veux à l'heure que je veux. Je soupire, grogne, passe ma main dans mes cheveux et le confronte du regard à nouveau. « Il est huit heure, vous ne devriez pas boire autant détective... » Je soupire et je me lève en m'appuyant sur le comptoir. Je l'agrippe par le collet et le tire vers moi, à quelques centimètres de mon visage. Il avale sa salive et se met à trembler. Si je n'étais dans mon état chaotique, je l'aurais lâché et je me serais excuser, mais j'avais déjà but avantde venir, donc, je n'étais pas apte à quoi que ce soit. « Écoute le jeune, tu me donnne mon verre, tu me donnes ce que je te demande et jhe te paie, c'est ça notre relation, t'a compris gamin? » Je n'étais pas moi-même et je n'en étais même pas conscient. La porte s'ouvrit, mais je n'y portai pas attenntion, j'aurais peut-être du. Des pas s'approchèrent de moi assez rapidement et retirèrent ma main du gamin et me recula. Je me retrouvé assi de nouveau sur le banc, « Vas t'occuper des autres, je me charge de lui. » Je grogne dans ma barbe, je voulais mon verre, c'était pourtant pas aussi compliqué que ça. L'homme à côté de moi me tourna vers lui et me prit la tête entre ses mains. Il y avait des mois que je ne l'avais pas vu, depuis mon entré sur ce gros dossier je dois dire. « Merde Maat, qu'est-ce qui t'arrive. Tu empestes l'alcool, tu devrais pas boire autant. C'est quand la dernière fois que t'as dormit une vraie nuit? » Je grogne et le regarde les sourcils froncés. Rapidement je le repousse, assez fort pour qu'il se lève du banc. Je me tournne à nouveau vers le comptoir. « Fous-moi la paix Bash. » Il s'approche de nouveau et m'agrippe par le collet pour me lever. Je nnnn'eus pas le choix de suivre, j'aimais trop cette veste de cuir pour le laisser l'abimer d'avantage. Je me tourne vers lui, il m'avait mit en colère, je lui balance un coup en plein visage. Il me le rendit activement sur le coup de l'impulsion et il s'excusa par la suite, mais ça ne m'arrêta pas, je lui en balançai un autre. Il me traina dehors et me poussa dans sa voiture me ramenant chez moi. Il m'enferma dans ma chambre dans laquelle je hurlai pendant des heures avant de tomber inconscient par manque de sommeil. Ce fut la plus belle nuit que j'avais eus depuis le réveille de Cat. Je m'étais réveillé, le lendemain, vers huit heures. Je vous rapelle qu'il m'a ramené il devait être neuf heurs trente-quatre et je me suis endormi deux heures plus tard. J'avais tout de même dormir un bon vingt heures et à mon réveil, j'avais une salle gueule de bois et un mal de crâne immense. Le mal de crâne était du à ce coup que Bash m'avait donné. Je sors de ma chambre en me tennant la tête et surprise, dans ma cuisine il y avait Bash avec deux tasses de café en main. « Bash? » J'avais complètement oublié ce qui s'était passé, j'avais surement trop but la nuit d'avant. C'est ce que sa donnait dans mes congés. Je m'approche de lui et passe devant un miroir et m'arrête sec. J'avais un de ses yeux au beurre noir! Je grimace et me tourne vers mon ami qui n'était pas très souriant. Je soupire et m'approche, je remarque que lui aussi n'a pas un très beau visage et je baisse les yeux et regarde mes jointures. « C'est moi qui a fait ça? » Bash s'approche et me frappe l'épaule méconntant. Il me tend une tasse de café. « Il faut qu'on parle. » Je n'ai pas eut le choix de tout lui expliquer et il m'a promi de m'aider à m'en sortir.